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En vie

24 février 2014

Faim d'un mâle entendu, fin d'un malentendu? (Cathy, suite et fin ou peut être début d'une toute autre aventure)

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Alexandre aimait découvrir, explorer, apprendre, maîtriser, partager.

Il aimait sentir son cœur sous tension permanente.

Il abhorrait l'ennui toujours prêt à s'installer.

La peur de n'être pas assez le tenaillait sans cesse.

Le monde réduit à ses envies, il en a oublié les gens qui l'entouraient.

Thanatos l'a rappelé à lui avant que l'impression de vide qui suit la prise de conscience ne devienne trop insupportable.

 

Cathy, épanouie par un nouvel amour que j'ai cru être moi, a mis fin à un malentendu.

Le male sur sa faim est resté beau perdant. Cathy et lui se parlent encore,… presque tous les jours.

Le respect de celle qui m'a donné envie, m'a fait désirer,

Le respect de celui qui lui a dit "tu es désirable" sans que ces mots aient été prononcés.

 

Alexandre le grand est parti, il avait 32 ans.

Moi, je suis toujours en vie, j'aime encore tout, j'ai envie d'aimer tout.

Je n'ai plus ni 20 ans, ni 30 ans mais le mal au ventre est là, c'est celui d'un ado passionné.

Vivement la prochaine aventure. Au revoir Cathy,… Retrouver mes ami(e)s.

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21 janvier 2014

Relation professionnelle difficile (suite... à un commentaire, merci Ina!)

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Son dernier vêtement remonté par mes mains,

Aucune résistance de ses bras qui se lèvent,

Mon regard qui exige, ne bouge pas!

Le contact de la soie sur ses yeux, le silence…

Bruit de pas sur parquet,

Quelque part dans la pièce, une porte qui s'ouvre,

Bruit de pas à nouveau.

Une robe qui couvre sa peau qui n'aime pas,

Fleur rouge à son oreille,

Les lanières de cuir des escarpins qu'on lie,

Un son, bandonéon, le bandeau enlevé.

L’appel par le regard, ses yeux qui disent oui,

La Milonga charmée de ces franges et dentelles,

Mon buste qui la guide, son corps qui improvise.

Provoquer, ressentir, transmettre l’énergie,

S’émouvoir, questionner, découvrir et séduire.

Ses pensées habitées de ces préliminaires,

Oubliant pour un temps l’urgence de ses envies,

S’abandonnent au tango, son tango.

Ah, Cathy, Cathy…

 

 

5 janvier 2014

Relation professionnelle difficile

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Cathy me faisait face.

Je n’avais qu’une envie, la punir, d’attendre un premier pas que je ne voulais pas faire.

Ma main replacerait cette mèche rebelle tandis que mes yeux chercheraient dans les siens son envie de se mettre en danger.

La pulpe de mes doigts effleurerait son visage, son cou,

Pour se poser ensuite sur cette laine douce qui couvre son épaule.

Ils presseraient alors, pour que sa peau ressente la marque que j’y laisse puis descendraient tout le long de son bras.

A mi-chemin, mes yeux toujours dans les siens, mon pouce se mettrait à masser l’intérieur de son coude, ne laissant aucun doute quant à mes intentions.

Arrivée au bout de son chemin, ma main ramènerait son poignet à ma bouche,

Mes lèvres s’amuseraient là ou son sang affleure.

L’autre main sur sa hanche, ma tête reprendrait sa posture habituelle et, de ma bouche malicieuse, sortiraient les quatre mots de sa punition : Bonne après-midi Cathy !!!

Merci à vous toutes de me donner des idées pareilles.

Mille excuses à vous toutes si j’aime plus que tout vous faire désirer ce que j’aime donner.

1 janvier 2014

Meilleurs voeux pour la nouvelle année

Je vous adresse à tous mes meilleurs voeux pour la nouvelle année en espérant que 2014 vous apportera santé, travail, argent, bonne ambiance et du temps pour vivre, écrire et lire.

5 octobre 2013

Introspection

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L’autre soir, un enfant devant son ordinateur, ma fille chez son copain, mon épouse se reposant devant la tv et moi… Pas envie de travailler, pas envie de lire, pas envie de sortir, parcourir ces milliers de photos sensuelles ou pas, de femmes sur la toile, à la recherche de celle qui me donnera envie d’écrire? Pourquoi pas…

Et puis cette accusation qui revient tout le temps. Tu réduis la femme à un corps.

Et puis ces vérités, la beauté de vos formes, la douceur de votre peau, vos parfums, un gout de sel sur la langue, ce plaisir (égoïste ???) à vous faire plaisir, votre visage que je fais grimacer pour un autre plaisir…

Et cette autre vérité, je ne garde que les photos ou votre visage exprime…

Et celle-là encore, je n’aime pas plus que ça vos photos quand vous êtes nues.

Comme si la beauté d’un corps ne dépendait que des états d’âme de celle à qui il appartient. Le sourire de votre cerveau comme condition indispensable à votre beauté.

Et puis cette question, est ce que je vous respecte parce que c’est naturel chez moi ou par volonté ?

Et puis cette observation, je respecte plus la femme que l’homme parce qu’elle est femme. Comment interpréter cela ? Moue pas rassurée.

Et cette conclusion : Je n’arriverai jamais à avoir les mêmes pensées envers un homme qu’envers une femme. Je ne suis pas triste, j’ai du respect pour l’homme mais beaucoup plus que du respect pour la femme. Je suis juste gêné, agacé d’avoir la pensée suivante :  Vous êtes nos égales tout en étant différentes. Egale et différente à la fois, en arithmétique, c’est impossible. Comme si mon côté cartésien essayait de s’imposer sur le terrain de mes pensées. Sourire devant l’une de vos photos, mon côté cartésien a perdu d’avance… Les trois points de suspension parce qu’à trop se poser de questions, on peut faire des découvertes sur soi … qui n’apportent pas forcément du plaisir.

Et cette réflexion,  heureux celui qui pense moins…

Je vous laisse, besoin de choses simples comme votre protestation quand je vous prive de la fin d’un épisode de votre série tv préférée … et que vous aimez ça.

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24 septembre 2013

Pas des façons de faire (Alternative)

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Voila déjà quelques mois que nos rencontres fleurissaient notre jardin secret.

Pour la seconde fois, je me rendais chez elle.

Au souvenir de l'accueil qu'elle me fit voilà une semaine, mon pas se fit plus grave.

M'écrire là, décider quand, me dire quoi, m'imposer le comment,

Et sa robe brusquée parce qu'enlevée trop vite, détestable arrogance!

Cette fois ci, l'initiative serait mienne.

Une main ferme empêcherait sa robe de glisser à ses pieds, l'autre main l'accompagnerait jusqu'au divan.

Assis en face d'elle, tout en la regardant avec des yeux de fauve, j'éteindrai ses envies par des mots sans saveurs.

Mon pied pointant vers elle lui dirait mon désir, mes questions sur sa vie l'ennuieraient pour de bon.

Bras ouverts, mains ouvertes, je lui refuserai ce sourire qui invite.

Et la porte s'ouvrit, chemise en coton blanc, bas noir teinté de rouge, la porte se ferma.

Une main, ses cheveux, une main, sa chemise, ces lèvres qui se trouvent, mes mains qui la soulève, ses jambes autour de moi, son dos contre le mur, ces vêtements qui tombent, une bouche, son cou, le vague souvenir d'avoir pensé alors que l'homme n'est qu'un homme et qu'elle est une reine…

 

Ecrit trop vite (je n'aime pas) suite à la lecture d'un superbe texte d'une blogueuse qui je l'espère, ne m'en voudra pas d'imaginer une suite toute personnelle à ses mots.

21 septembre 2013

Quelle voix !

21 septembre 2013

Au quotidien : 21 septembre 2013

Hier, le copain de ma fille (20 ans) lui a avoué son fantasme… Le faire à trois. Loin de s’en offusquer, ma fille lui a répondu : "Génial, on pourrait faire ça avec le beau brun là-bas". Depuis, son copain fait un peu la tête et moi je suis … offusqué. Que ma fille soit de moi, ok, qu’elle partage mes idéaux, d’accord, qu’elle sache se défendre, c’est bien, mais qu’elle mette en pratique…

Moralité de l’histoire : En 40 ans, la femme a vraiment évolué. L’homme lui, a plus de mal...

18 septembre 2013

Prendre les choses en main : La Recette

Feu four a pain

 

Une mesure d'elle, une dose de lui, deux soupçons de désir.

Mélanger.

Rajouter une pincée de ça.

Mélanger à nouveau.

Commencer à sentir ce qui est en train de naître.

Effleurer là alors de vos mains sures d'elles.

Attendre encore, l'aventure prend forme.

Griffez là, ça la rendra plus belle.

Montez la en température aussi longtemps qu'il faut.

Il ne vous reste plus qu'à déguster.

Je vous laisse, une baguette, ça n'attend pas.

NB : Prendre les choses en main n'est pas réservé qu'aux garçons.

       Remplacez la par le, belle par beau, ça marche aussi???

4 septembre 2013

Lui en redemander

Parchemin_fond_blog_3img avec texte V6

La fois suivante, elle a emmené le lien. Bon...

 

 

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